• Je dois dire qu’avant je n’appréciais pas trop Annie Ernaux.

    J’avais lu « La Place » et bof ! Mais ça c’était avant le 30 mars dernier.

    Quand, sur France-Inter, Augustin Trapenard a annoncé que la lettre du jour était d’Annie Ernaux, j’ai bien failli appuyer sur le bouton du poste. Je ne sais quel criquet intérieur m’a suggéré de faire un effort d’objectivité et d’écouter. Et je n’ai pas regretté.

    Je suis tellement en colère contre ce jeune président qui (entre autres) vient réveiller des angoisses chez nos  ainés avec ses effets théâtraux,  qu’il vaut mieux que je me taise.

    Madame Ernaux a exprimé de façon concise et polie une partie de ce qui bouillonne en moi. Cela m’a fait du bien et je l’en remercie.

    Si vous ne connaissez pas cette lettre (courte mais dense) je vous invite la lire ou à l’écouter ici, elle dure 3 minutes.

    Pour la suite, nous verrons.
    Pour le moment,  déjà tenir le coup et rester chez soi.

    Pas de photo disponible pour illustrer ce propos.

    il y a une glycine un peu en avance mais un texte de saison, en tout cas pour le Jura et  totalement actuel des fleurs de prunier.


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